FONDS D'OR

Kulyash Baiseitova (1912–1957) était une chanteuse d'opéra kazakhe (soprano lyrique), artiste du peuple de l'URSS et l'une des étoiles les plus brillantes de l'opéra kazakh. Elle a été la première chanteuse kazakhe à recevoir le titre d'artiste du peuple de l'URSS et est devenue un symbole de l'épanouissement de l'art lyrique national.Elle est née en 1912 dans le comté de Kokshetau (aujourd'hui territoire du Kazakhstan). Elle a montré un talent musical dès son enfance et a participé à des productions théâtrales dès son plus jeune âge. Elle est diplômée du studio du Théâtre musical kazakh et, dès 1934, à l'âge de 22 ans, elle est devenue soliste du premier théâtre kazakh d'opéra et de ballet (aujourd'hui le théâtre du nom d'Abai).Elle a acquis une véritable renommée grâce au rôle de Sara dans l'opéra « Birzhan et Sara » du compositeur Mukan Tulebaev, où elle a non seulement démontré un chant brillant, mais a également créé une image profondément dramatique. Ce rôle est devenu sa carte de visite. Parmi les autres œuvres importantes, citons les parties d'Aizhan dans « Aiman-Sholpan », d'Ajar dans « Abai », de Tatiana dans « Eugène Onéguine ». Son interprétation se distinguait non seulement par une technique virtuose, mais aussi par une profonde charge émotionnelle.Kulyash Baiseitova a été l'une des premières chanteuses kazakhes à présenter la musique nationale sur la scène internationale. En 1936, elle s'est produite à Moscou lors de la Décennie de l'art kazakh, où son talent a été très apprécié. En 1937, elle a reçu le titre d'Artiste du peuple de l'URSS, devenant ainsi la plus jeune artiste de l'histoire à recevoir ce titre.Sa vie a été interrompue en 1957, mais sa contribution au développement de l'opéra kazakh et de la culture musicale reste inestimable. Aujourd'hui, des rues, des théâtres et des établissements d'enseignement musical au Kazakhstan portent son nom, et son image reste une source d'inspiration pour les jeunes chanteurs.

Kurmangazy Sagyrbayuly (1818–1884) était un compositeur, un kuishi et un joueur de dombra kazakh, l'un des plus grands musiciens du peuple kazakh. Il est né dans l'Horde de Bukey (aujourd'hui le territoire du Kazakhstan occidental) et a montré un talent pour jouer du dombra dès son enfance. Son professeur était le célèbre kuishi Uzak, mais bientôt Kurmangazy a surpassé de nombreux maîtres, créant des mélodies uniques qui reflètent la vie du peuple kazakh.Son travail est devenu un symbole de la lutte pour la liberté et l'indépendance. Dans ses kuyas, il a transmis les souffrances des gens ordinaires, leur aspiration à la justice et leur esprit de résistance. Pour ses opinions et son soutien aux pauvres, il a été persécuté à plusieurs reprises par les autorités, a été arrêté à plusieurs reprises et a été emprisonné. Malgré cela, sa musique a continué à résonner, transmise de génération en génération.Parmi ses œuvres les plus célèbres, citons « Saryarka », « Adai », « Kishkentai », « Balbyraun », « Türmeden kashkan ». Ces kuyis sont devenus des symboles de l'identité nationale kazakhe, reflétant la force, la volonté et l'insoumission du peuple. Aujourd'hui, la musique de Kurmangazy est jouée non seulement au Kazakhstan, mais aussi à l'étranger, et son nom est porté par l'Orchestre national kazakh des instruments folkloriques. Son travail occupe une place particulière dans la culture du Kazakhstan, et sa contribution au développement de la musique nationale reste inestimable.

Lyala Sultankyzy  est le visage de la télévision kazakhe et l'une des femmes les plus influentes de l'industrie médiatique du pays. Présentatrice de télévision, productrice, responsable des médias et auteur de nombreux projets à succès. Son nom est associé à un contenu de qualité et à des solutions innovantes audacieuses.Elle a commencé sa carrière dans les années 90, passant de journaliste à directrice de chaînes de télévision. Elle a été à l'origine de programmes aussi populairescomme "Öyel Bakyty", a travaillé sur les chaînes de télévision "Hit TV", "TRK Shahar" et "Kazakhstan". Sous sa direction, la chaîne de télévision pour enfants"Balapan" est devenue l'une des clés projets de développement de la télévision pour enfants en langue kazakhe.Laila ne se contente pas de créer des émissions de télévision : elle change la perception de la télévision kazakhe en introduisant de nouveaux formats et en promouvant le contenu national. Sa contribution à l'industrie des médias a été reconnue par des prix prestigieux, notamment le titre de « Travailleur honoré du Kazakhstan » (2015) et la médaille « Eren Enbegi Ushin » (2022).Elle est toujours à la recherche d'idées fraîches, développe des projets sociaux et éducatifs et inspire la nouvelle génération de journalistes. Son nom est un symbole de qualité, de créativité et de professionnalisme dans les médias kazakhs.

Madina Eralieva est une chanteuse kazakhe exceptionnelle qui a laissé une marque brillante dans l'histoire de la scène nationale et de l'art populaire. Sa voix pure (soprano colorature) et son interprétation émouvante de chansons ont fait d'elle l'une des préférées des auditeurs.Born en 1954 Région de Kyzylorda, est diplômée du département de musique de l'école pédagogique de Kyzylorda, puis de l'Institut pédagogique des femmes kazakhes. Sa carrière a commencé à l'Institut de littérature et d'art, mais elle a acquis une véritable renommée en tant que soliste de la Philharmonie régionale d'Almaty, où elle a travaillé jusqu'à la fin de sa vie.Mort tragiquement dans un accident de voiture en 2000 mais son nom continue de vivre dans le cœur des fans. Une rue d'Almaty et le Palais de la Culture portent son nom en Kyzylorda, où est également ouvert un musée à la mémoire de la chanteuse.Elle a reçu de nombreux prix, dont le titre d'Artiste émérite de la RSS du Kazakhstan et de la République. Kazakhstan, ainsi que le certificat d'honneur de la République d'Ouzbékistan. Des livres ont été écrits sur sa vie et son œuvre, notamment « Madina » (2002) et « Kazaktyn Madinasy » (2013).L'héritage créatif de Madina Eralieva ne se résume pas seulement à des chansons, mais aussi à sa contribution au développement de la culture musicale kazakhe, inspirant de nouvelles générations d'interprètes.

Magauiya Khamzin – Kazakhtyn Öigіli dombyrashysy, kuyshi-compositeurs, shertpe kuy desturіnіn kornekti okili. Ol 1927 zhyly 29 zheltoksanda Kazіrgі Karagandy calvitie Aktogay audanynda duniege kelgen. 10 ? style="text-align: start;">Khamzinnin kuishilik zholynda akesi Khamza, sonday-ak Öigіli Akkyz kuyshi magnyzdy rol atkardy. Ol Tattimbettin «Saryzhailau», «Sylkyldak» kuylerin sheber orindap, algashky talentyn corsetti. 1949 zhyly Almaty music school tқmamdap, Karagandy philharmonic synda oner korsete bastady. Kazaqtyn khalyk aspaptar orchestrande қзмет еtype, "Kazakhconcert" birlestiginde zheke dombyrashy retinde tanyldy.Magauiya Khamzin dstrі kuylermen қatar zamanaui takyryptarga da tuyndylar zhazdy. Onyң shyғarmalary arasynda : « Kosbasar » (ekі nұskasy), « Shakhtar kuyi », « Cosmonavtar », « Altyn astyk », « Zhailau », « Zharys », « Amangeldi turaly kuy », « Shopan kuyi », « Belgіsіz soldat », « Tokyrauyn tolgauy », "Zhas Kazak" sekildi kuyler bar.Dombyra onerinіn nagyz sheberi atangan Magauia Khamzin 1979 zhyly Kazakh KSR-inin halyk artisi atagyn aldy. 1998 zhyly Kurmangazynyn 175 zhyldygyna arnalgan halykaralyk festivalde tokpe kuishi Rysbay Gabdievpen birge "Dasturly music onerine" sinirgen zor enbegi ushin" zhildesin yelendi.Magauia Khamzinn shyғarmashylyғy қазaқ күй онерінін damuyna zor ules kosty. Kaldyrdy.

Malbagar Mendikulov est un architecte exceptionnel, le fondateur de la science architecturale kazakhe, qui a joué un rôle clé dans le façonnement de l'apparence d'Almaty et d'autres villes du Kazakhstan. Né en 1909 dans la province d'Orenbourg. Diplômé de l'Institut industriel d'Asie centrale, après quoi il a travaillé activement en Ouzbékistan, en concevant des objets importants de Tachkent, notamment l'avenue Navoi, le théâtre nommé d'après A. Navoi et le siphon Angren du grand canal de Tachkent. En 1941, il devient architecte en chef de Tachkent et président de l'Union des architectes d'Ouzbékistan.Pendant la Grande Guerre patriotique, il s'est porté volontaire pour le front, où il a servi jusqu'à la Victoire et a reçu le grade de major. Après la guerre, il a dirigé le projet Uzplanproekt et en 1947, il a été invité au Kazakhstan. À Almaty, il a été architecte en chef de la ville et chef du département d'architecture et de construction de la RSS kazakhe et a participé au développement du maître de la ville. plan, la reconstruction de l'avenue Lénine (aujourd'hui Dostyk), ainsi que le centre public de la capitale.Parmi ses projets importants figurent le Palais des Mariages à Almaty, le bâtiment administratif de la cave, le café Karlygash et Aina-Bulak, les monuments de Zhambyl Zhabayev et Mukhtar Auezov, la reconstruction du musée Abai à Semipalatinsk. Il fut l'un des auteurs du projet du pavillon kazakh à l'Exposition agricole panrusse de Moscou. l'Académie de construction et d'architecture de l'URSS. Jusqu'à la fin de sa vie, il s'est engagé dans la recherche et l'enseignement de l'architecture. Décédé en 1986 inhumé au cimetière Kensai à Almaty.

Marat Bisengaliev est un célèbre violoniste et chef d'orchestre kazakh, célèbre sur la scène mondiale.Né en 1962 à Alma-Ata. Diplômé de l'École républicaine de musique du nom de K. Baiseitova, puis a étudié au Conservatoire d'Almaty et au Conservatoire de Moscou, où il a terminé ses études de troisième cycle sous sous la direction de Valery Klimov.En 1989 fondé l'orchestre de chambre "Altyn-Alma" in Alma-Ata. La même année, il part en tournée en Angleterre, où son talent est remarqué par les représentants de l'industrie du disque. Au cours des années suivantes, il sort 14 albums avec de grands labels mondiaux, "Naxos" et "Sony".A fait une tournée active dans 35 pays et, en 2006 a fondé le premier orchestre symphonique professionnel de Inde. En 2011 joué au palais de Buckingham devant le prince Charles.Bisengaliev a été reconnu comme le « symbole musical de la Décennie» du Kazakhstan et récompensé par le Disque d'Or de Sony BMG. En 2017, il a célébré son 55e anniversaire avec une série de concerts et a également organisé un spectacle à grande échelle « Énergie du son » à Astana.

Mayra Mukhamedkyzy (également connue sous le nom de Mayra Kerei) est une chanteuse d'opéra kazakhe (soprano), la première soliste kazakhe de l'Opéra de Paris. Elle est née le 5 septembre 1969 à Kuldja, en Chine, dans une famille de musiciens : son père était un compositeur renommé et un collectionneur de chansons folkloriques kazakhes, sa mère était une chanteuse et une artiste du peuple de Chine. En 1987, Mayra est diplômée de la faculté de musique de l'Université centrale des nationalités de Chine, puis du Conservatoire de Pékin. En 1994, elle a déménagé au Kazakhstan, où elle est devenue soliste du Théâtre académique national d'opéra et de ballet d'Abai à Almaty. En 1998, elle a remporté la troisième place au Concours international Tchaïkovski, devenant ainsi la première lauréate du Kazakhstan. En 2002, Mayra a signé un contrat de deux ans avec l'Opéra de Paris, où elle a fait ses débuts dans l'opéra de Puccini «La Bohème» dans le rôle de Musetta. Elle s'est également produite à l'Opéra de Washington à l'invitation de Placido Domingo, interprétant un rôle dans l'opéra de Tchaïkovski «La Pucelle d'Orléans». Son répertoire comprend des rôles dans les opéras «L'Élixir d'amour» de Donizetti, «L'Africaine» de Meyerbeer et autres. En décembre 2015, Mayra a été invitée à l'«Astana Opera» en tant que soliste principale. Elle est lauréate du Prix d'État de la République du Kazakhstan (2008) et chevalier de l'Ordre «Otan» (2020). En 2024, elle a reçu le titre d'Artiste du peuple du Kazakhstan. Mayra Mukhamedkyzy est mariée à Aksan Askhat-uly, double champion d'Asie de motocross et décuple champion de Chine de courses de moto. Le couple a une fille, Aïda, née le 2 février 2012. Son œuvre est très appréciée par les critiques et le public pour sa voix brillante et cristalline et son talent artistique. Mayra continue de se produire activement sur la scène lyrique internationale, représentant l'art kazakh.En 2024, Mayra Mukhamedkyzy a participé au référendum au Kazakhstan, votant dans un bureau de vote situé au théâtre d'opéra et de ballet de Shymkent. Sa contribution au développement de l'art lyrique et à la promotion de la culture kazakhe sur la scène internationale est significative et mérite d'être reconnue.

Meruert Karataevna Utekesheva est un nom qui restera à jamais dans le cœur des fans de cinéma et de théâtre kazakhs. Son image légendaire, Kyz-Zhibek, est devenue un symbole de beauté, de grâce et de force féminine, et son talent et son dévouement à l'art ont fait d'elle l'une des plus grandes actrices du Kazakhstan.Elle est née le 25 février. 1951 à Ouralsk et dès son enfance il était entouré d'un amour de l'art. En 1968, son destin a changé pour toujours : une jeune fille encore inconnue a été invitée à jouer le rôle principal dans le film "Kyz-Zhibek". Son image douce mais forte, sa sincérité et son émotivité ont captivé des millions de téléspectateurs. légende.Après le succès retentissant du film, Meruert Utekesheva entre à l'Institut national des arts du Kazakhstan, où elle étudie avec les meilleurs maîtres de scène. Déjà en 1973, elle devient actrice au Théâtre dramatique académique d'État kazakh du nom de M. Auezova, à qui elle a consacré toute sa vie. Ses œuvres théâtrales étonnent par leur profondeur et leur polyvalence. Karagoz dans la pièce du même nom de Mukhtar Auezov, Enlik dans "Enlik – Kebek", Gaini dans "The Lost Friend", Aliman dans "Mother's Field" - chaque rôle est devenu un véritable événement, éveillant des émotions sincères chez le public.Mais son travail ne se limite pas au théâtre. Sa filmographie représente toute une époque du cinéma kazakh. Elle a joué dans les films « Chokan Valikhanov », « Le Conte de la belle Aisulu », "Ma maison sur les collines vertes", "La ville des rêves", "La vieille femme", ainsi que dans les séries télévisées populaires "Aisha", "Zhanym" et "Zhanym-2". Dans chaque image il y a une véritable sincérité, dans chaque mouvement il y a la précision et le travail en filigrane de la grande actrice.Sa contribution au développement de la culture kazakhe a été hautement appréciée. En 1982 elle a reçu le titre d'Artiste émérite de la RSS du Kazakhstan. Elle a reçu les ordres Kurmet et Parasat et est devenue lauréate des prix de théâtre républicains et de toute l'Union.En 2022 elle a reçu le titre « Citoyenne d'honneur de la ville d'Almaty » - reconnaissance de sa contribution inestimable à l'art.Mais, peut-être sa principale réussite – est l'amour du public. la vie. Chacun de ses rôles était empreint d'honnêteté et de dévouement. Ses héroïnes inspiraient, donnaient de l'espoir, nous faisaient croire au pouvoir de l'amour et de la gentillesse.Meruert Utekesheva est plus qu'une actrice. C'est une époque, c'est un symbole, c'est un héritage dont tout le Kazakhstan est fier.

Mirzhakip Dulatov est un poète, écrivain, journaliste, dramaturge kazakh, l'un des dirigeants du mouvement "Alash- Horda".Né 25 novembre 1885  dans la région de Tourgaï. J'ai perdu mes parents très tôt sa mère est décédée quand il avait 2 ans, son père est décédé quand il avait 12 ans. Il est diplômé de l'école primaire, puis de l'école russo-kazakhe (1902), après quoi il est devenu enseignant rural. Son mentor était Akhmet Baitursynov, avec qui Mirzhakip a collaboré dans la littérature et politique. En 1904 J'ai rencontré Alikhan Bukeikhanov à Karkaraly.En 1907 Dulatov se rendit à Saint-Pétersbourg pour le Congrès panrusse des cadets en tant que délégué du Parti kazakh des démocrates constitutionnels. Il créa la revue "Serke", où il publia le poème "Zhastarga"("Jeunesse"). Article écrit "Bizdin maksatymyz" ("Notre objectif") pour le deuxième numéro, mais la publication a été fermée.En 1910 Mirzhakip Dulatov a écrit le roman «Bakytsyz Zhamal» («Malheureux Jamal»), qui est considéré comme le premier roman kazakh. a éveillé les soupçons parmi les autorités et, en 1911, à Semipalatinsk, il a été arrêté pour le poème "Zhumbak", dans lequel il ridiculisait allégoriquement l'empereur Nicolas II. Il a été condamné à 2 ans de prison, mais plus tard, la peine a été remplacée par une amende. de 2000 roubles.Après sa libération, Dulatov a activement publié dans le magazine "Aykap" et le journal "Kazakh", qu'il a fondé avec Akhmet Baitursynov. Dans ses articles, il critiquait la situation sociale et politique des Kazakhs. [&:not(:first-child)]:mt-6" dir="ltr" style="text-align: start;">En 1916 lors du soulèvement contre la mobilisation des Kazakhs pour le travail arrière, Dulatov, avec Baitursynov et Bukeikhanov, s'est prononcé en faveur de la mise en œuvre du décret royal. décret. Cela a provoqué des désaccords au sein du peuple.En 1917, il devient l'organisateur du premier congrès pan-kazakh à Orenbourg, où le parti Alash a été créé, et en est ensuite devenu membre. du gouvernement d'Alash Orda.Après la défaite de l'autonomie d'Alash en 1920, il quitte la politique et se lance dans des activités d'édition et d'enseignement. En 1928, il s'opposa fermement à l'abolition de l'alphabet arabe, le considérant comme une menace pour la langue et la culture kazakhes.

Mukagali Makataev est l'un des poètes les plus brillants et les plus talentueux du Kazakhstan, dont les œuvres sont devenues le reflet de l'âme du peuple. Son œuvre est empreinte de sincérité, d'amour de la vie et de réflexions philosophiques sur le destin de l'homme.Né en 1931 dans le village de la région de Karasaz Alma-Ata. Il a travaillé comme enseignant, journaliste, animateur radio, puis comme consultant littéraire pour l'Union des écrivains du Kazakhstan. Il a commencé à écrire de la poésie dès son plus jeune âge et le poème « Appassionata » lui a valu la renommée. (1962), après quoi son nom rejoint les rangs des meilleurs poètes kazakhs.Sa poésie – est une combinaison de mélodie, de profondeur et simplicité, compréhensible pour tout lecteur. Il est l'auteur des recueils « Hello, Friends », « My Swallow », « Swans Don't Sleep », « Poem of Life » et bien d'autres. Dans ses œuvres, Makataev a chanté l'amour, la nature, la terre natale, réfléchi sur le sens de la vie et l'inévitabilité du temps. Beaucoup de ses poèmes sont devenus des chansons qui vivent parmi le peuple.Makataev a également participé aux traductions : grâce à lui, les lecteurs kazakhs ont fait connaissance avec les œuvres de Walt Whitman, William Shakespeare et Dante. Sa traduction de La Divine Comédie est reconnue comme l'une des meilleures interprétations de cette grande œuvre.Malgré la courte vie de Makataev, l'œuvre de Makataev a laissé une marque indélébile sur la littérature kazakhe. Ses poèmes continuent d'inspirer, trouvant une réponse dans le cœur des personnes de toutes générations.

Mukhtar Omarkhanovich Auezov est un écrivain, dramaturge et scientifique kazakh exceptionnel. Lauréat Lénine (1959) et Prix Staline (1949), Académicien de l'Académie des sciences de la RSS du Kazakhstan (1946). Son roman épique « La Voie d'Abai » est devenu un classique de la littérature mondiale.Né 28 septembre 1897 dans la région de Shyngystau, région de Semipalatinsk. A perdu ses premiers parents et a été élevé par son oncle. En 1919 diplômé du séminaire des professeurs de Semipalatinsk.En 1917 il met en scène sa première pièce "Enlik-Kebek" dans la yourte de l'épouse d'Abai, Aigerim. Plus tard, il crée son œuvre principale  - le roman "Le chemin d'Abai", qui révèle la vie de la société kazakhe pour la deuxième fois de l'année le 19ème siècle et le sort d'Abai Kunanbayev.Le roman a été traduit en russe par tout un groupe de traducteurs, mais le travail clé a été réalisé par Anna Nikolskaya. Sa traduction s'est ensuite formée la base des traductions dans 20 langues.Mukhtar Auezov décédé le 27 juin 1961 à Moscou. Son œuvre continue d'inspirer les lecteurs du monde entier.

Mukhtar Shakhanov est un écrivain, poète et dramaturge kazakh qui a apporté une contribution significative au développement de la littérature et de la culture nationales. Son œuvre reflète de profondes réflexions philosophiques et l'identité nationale. et la mémoire historique du peuple kazakh.Ayant commencé son activité littéraire dans les années 1960, il s'est rapidement fait connaître grâce à ses poèmes, qui mettaient en vedette le thème de l'humanité. valeurs, langue et traditions. Beaucoup de ses œuvres ont été traduites en russe et en kirghize, gagnant ainsi une grande popularité auprès des lecteurs.Depuis En 1984, Shakhanov dirige la revue "Zhalyn", où il soutient de jeunes auteurs et contribue au développement de la littérature kazakhe moderne. Il a également participé activement à la vie sociale et politique du pays, en prônant la préservation de la culture nationale et du patrimoine spirituel.Sa contribution à la littérature a reçu le prix Lénine Komsomol pour le livre "Faces times", ainsi qu'un certain nombre d'autres prix, y compris les titres d'écrivain populaire du Kazakhstan et de poète populaire du Kirghizistan. Pour son travail dans le domaine de la culture, il a reçu l'Ordre "Otan" et le Prix d'État du Kazakhstan.En plus de ses activités littéraires, Shakhanov a prêté attention aux questions environnementales, a été impliqué dans la protection de la langue kazakhe, a proposé des réformes dans le domaine de l'éducation et de la culture. Ses œuvres et ses activités sociales ont contribué au renforcement des liens culturels entre les peuples turcs et à la préservation de leur patrimoine historique.

Nagima Eskalieva – une légende de la scène kazakheNagima Khabdulovna Eskalieva (née le 3 février 1954 ) – chanteuse pop soviétique et kazakhe chanteuse, actrice de cinéma, présentatrice de télévision, artiste du peuple du Kazakhstan (1999), Artiste émérite de la RSS du Kazakhstan (1985).Né dans une famille nombreuse, je m'intéresse à la scène depuis mon enfance. Studio Républicain des Arts des Variétés et du Cirque (classe de Lucky Kesoglu) et Collège de Musique Tchaïkovski. En 1977, elle débute sa carrière dans le "Kazakhconcert", puis devient soliste de l'ensemble "Gulder".En 1985  a rejoint l'ensemble "Medeu".Possédant une voix puissante et expressive, Eskalieva interprète du folk kazakh, de la pop soviétique et moderne chansons. Tournée en Tchécoslovaquie, Mongolie, Algérie, Cuba, RDA et Danemark.Elle a été membre du jury des spectacles vocaux SuperStar KZ et X Factor Kazakhstan  (huit saisons). Elle a apporté une contribution significative au développement de la scène pop kazakhe et à la formation d'une nouvelle génération d'artistes.

Nurgali Nusipzhanov (né le 5 janvier 1937) - Kazakh chanteur, enseignant, Artiste du peuple de la République du Kazakhstan (1993), lauréat du Prix d'État de la RSS du Kazakhstan (1982).Il est diplômé du département de chant du Conservatoire d'État kazakh en 1964. Il a travaillé comme soliste au Théâtre d'opéra et de ballet kazakh, puis à la Philharmonie kazakhe, ainsi qu'en tant que rédacteur musical à la radio et à la télévision kazakhes.Il a été le premier interprète de nombreuses œuvres vocales de Nurgisa Tlendiev et a grandement contribué au développement de l'orchestre Otyrar Sazy et de l'ensemble Zhazir. Son répertoire comprend des chansons folkloriques kazakhes et des œuvres de compositeurs célèbres. Interprété avec des légendes telles que Roza Baglanova, Bibigul Tulegenova, Rosa Rymbaeva, MakpalZhunusova et autresA voyagé dans tout le Kazakhstan avec des concerts en solo et s'est produit à l'étranger en Europe, en Asie et Afrique. Récompensé des ordres de Kurmet, Parasat, Barys III degré, noté avec les titres Citoyen honoraire d'Almaty et Travailleur émérite de la culture de l'Ouzbékistan.

Nurlan Altaevich Onerbaev est né le 4 novembre 1961 dans le village de Koksaek, dans la région de Tolebi, au sud du Kazakhstan région. En 1980 il est diplômé du studio de théâtre du Théâtre dramatique d'État kazakh et en 2000- de la Faculté de droit de l'Université pédagogique nationale kazakhe du nom d'Abay.De  1980 à 1991 il a travaillé comme acteur dans l'État kazakhThéâtre dramatique académique nommé d'après M. O. Auezov. En 1990-1998 dirigé « Radio kazakhe », puis il était soliste de la pop-orchestre symphonique, traducteur et directeur adjoint de l'agence du groupe de doublage Khabar En 1998-2002 il a été le principal soliste et directeur artistique du groupe créatif de l'Orchestre présidentiel. En 2001-2006 , il a de nouveau travaillé à Radio kazakhe , puis a dirigé le Département de la culture d'Almaty. En 2008-2011 il a été député des Mazhilis du Parlement de la République du Kazakhstan.Depuis 2011, il se consacre à des activités créatives. Son répertoire comprend environ 300 chansons, dont Sagynysh, Auylym, Ake Armany, Anashym, Karagym-ay, Aidai et bien d'autres. Il est le premier interprète de plus de 70 compositions incluses dans le répertoire des jeunes chanteurs.Récompensé pour sa contribution à la culture du Kazakhstan avec les titres "Artiste émérite de la République du Kazakhstan" et "Travailleur émérite du Kazakhstan".

Nurgisa Tlendiev – n'est pas seulement un nom dans l'histoire de la musique kazakhe, c'est une époque qui sonne dans dombra, orchestre et le cœur du peuple. Compositeur, chef d'orchestre, joueur de dombra, Héros du peuple du Kazakhstan et Artiste du peuple de l'URSS  – c'était un homme qui savait parler à l'Univers à travers la musique.Né en 1925 dans le village de Shilikemer et dès l'enfance son destin était scellé – son père lui a appris à jouer de la dombra, et du grand Akhmet Zhubanov l'a pris sous son aile. Déjà à l'âge de 12 ans, Tlendiev était accompagnateur et à 14 ans, chef d'orchestre d'instruments folkloriques.La guerre ne l'a pas épargné non plus - il est parti au front comme volontaire. Mais après avoir traversé le feu et les épreuves, il revient se consacrer à nouveau à la musique. Il a étudié au Conservatoire kazakh, puis à plus de 500 œuvres – des répliques aux opéras, des cantates aux symphonies. Sa musique est entendue dans des films que tous les Kazakhs connaissent : "Kyz Zhibek", "Je m'appelle Kozha", "Batyr Bayan".En 1981 il fonde le légendaire orchestre "Otrar Sazy", ramenant au monde d'anciens instruments kazakhs,  faisant revivre les sons de la steppe et des nomades ancêtres. Il a amené la musique kazakhe à un nouveau niveau, créant un pont entre le passé et le futur.Le 15 octobre 1998, il est décédé, mais son La dombra continue de résonner dans les orchestres, dans les voix des chanteurs folk, dans la mémoire de tous ceux qui ont entendu ses œuvres.

Nursulu Elubaevna Tapalova (1923-1998) - Artiste de ballet kazakhe et soviétique, actrice de cinéma, Artiste émérite du Kazakhstan SSR (1954). Depuis son enfance, elle s'intéresse aux arts du spectacle et se produit dans une troupe de théâtre amateur. À l'âge de 13 ans, elle entre à l'école de danse du Théâtre académique d'opéra et de ballet du Kazakhstan.En 1936-1939, elle a étudié à l'école de ballet du théâtre sous la direction de K. Dzhandarbekova. Depuis 1936, elle se produit comme soliste de ballet au Théâtre académique d'opéra et de ballet du Kazakhstan et depuis 1953 — avec dans le cadre de "Kazakhconcert".Elle a brillé dans divers concerts pop et le genre miniature.Le 6 novembre 1946, elle interprète la « Danse kazakhe » de L. Hamidi lors du concert gouvernemental en l'honneur du 29e anniversaire de la Révolution d'Octobre. Aibolit" I. V. Morozova et "Esmeralda" réalisé par M. Moiseev.En plus du ballet, Tapalova a joué dans une vingtaine de films, combinant avec succès activités scéniques et cinématographiques. En 1947, elle a été élue députée du conseil municipal d'Almaty (1947-1949).En 1954 a poursuivi sa carrière à l'Orchestre philharmonique d'État du Kazakhstan à Djambul, en se produisant dans l'Ensemble de chant et de danse kazakh SSR. En 1958 a participé à la célébration du dixième anniversaire de la littérature et de l'art kazakhs à Moscou.Nursulu Tapalova a laissé une marque significative dans l'histoire du ballet, de la pop et du cinéma kazakhs, devenant l'une de ses plus brillantes représentantes. génération.

Olzhas Suleimenov est un poète, écrivain, critique littéraire, personnalité publique et diplomate kazakh. Héros du travail du Kazakhstan, écrivain populaire du Kazakhstan SSR, fondateur du mouvement antinucléaire "Nevada  Semipalatinsk", qui a obtenu la fermeture du site d'essai de Semipalatinsk.Né le 18 mai 1936 à Alma-Ata. Son père, un militaire, a été réprimé en 1937. En 1954, il entre à la faculté d'exploration géologique de l'Université d'État du Kazakhstan, mais choisit bientôt littéraire, diplômé de l'Institut littéraire Gorki de Moscou. [&:not(:first-child)]:mt-6" dir="ltr" style="text-align: start;">A reçu une grande popularité en 1961 grâce au poème "Terre, inclinez-vous devant l'homme", dédié au premier vol de Yuri Gagarine. Parmi ses œuvres emblématiques  est la collection "Argamaki", "Clay Book", "Az and I", "Language" lettres." Ses œuvres explorent l'influence des langues turques sur la culture et l'histoire de la Russie ancienne.Suleimenov était activement impliqué dans la politique et les activités sociales. Il était député du Soviet suprême de l'URSS et du Kazakhstan, était impliqué dans les questions environnementales et culturelles. A apporté une contribution significative au développement du cinéma kazakh et a participé à la création de tels films. comme "Kyz-Zhibek" et "Terre des pères".Son travail combine profondeur historique, perspicacité philosophique et recherche linguistique. Suleimenov reste une figure clé de la littérature, de la science et de la vie sociale du Kazakhstan.

Oralkhan Bokeev est l'un des écrivains les plus originaux du Kazakhstan, dont les œuvres sont devenues partie intégrante de la littérature nationale. en 1943 dans la région de Katon-Karagai, et a absorbé dès son plus jeune âge la beauté de ses lieux d'origine, qui deviendra plus tard le thème central de son travail.Son chemin vers la littérature a commencé à travers le journalisme - il a travaillé dans des journaux régionaux et républicains, puis a dirigé « Cosaque Adebieti ». "Les Pléiades", "Où es-tu, poulain à front blanc ?", "Les Montagnes des Glaciers" et d'autres œuvres, traduites dans de nombreuses langues du monde.Bokeev a écrit sur la vie des gens ordinaires - bergers, opérateurs de machines, forestiers, éleveurs de rennes. Mais sa prose allait bien au-delà de la vie quotidienne : elle contenait des réflexions philosophiques sur le destin, la nature humaine, le bien et le mal. La nature dans ses œuvres n'est pas seulement un arrière-plan, mais un participant égal aux événements, un mentor et des héros testeurs.Ses livres sont imprégnés de l'esprit du Kazakhstan oriental - sommets enneigés de l'Altaï, dunes de sable, tempête les rivières et les steppes sans limites prennent vie sur les pages et font partie des destinées humaines. C'est cette combinaison de réalisme et de métaphore qui a rendu son travail unique.Bokeev était récompensé par de nombreux prix, ses œuvres ont été traduites en allemand, en anglais, en chinois, en japonais et dans d'autres langues. Il a laissé une marque indélébile sur la littérature du Kazakhstan et ses livres continuent d'inspirer de nouvelles générations de lecteurs.

Raisa Sadykova est la première femme chef d'orchestre kazakhe, enseignante, ouvrière émérite de la République du Kazakhstan (1995). Elle est entrée dans l'histoire comme une pionnière dans le domaine de la direction d'art en Kazakhstan.Né le 18 juillet 1944 dans la région d'Almaty. J'aimais la musique depuis mon enfance et j'en jouais la mandoline dans un ensemble villageois. Diplômé du Collège de musique d'Almaty, puis du Conservatoire national kazakh du nom de Kurmangazy, puis du Conservatoire national kazakh du nom de Kurmangazy, puis de St. Conservatoire de Saint-Pétersbourg nommé d'après N. Rimsky-Korsakov.De 1964 à 1975, elle a travaillé comme artiste de l'Orchestre instrumental national kazakh. Plus tard, elle est devenue chef d'orchestre du Théâtre académique d'opéra et de ballet de l'État kazakh du nom d'Abai. En 1995, elle a reçu le titre "Ouvrière honorée de la République du Kazakhstan" pour sa contribution au développement de l'art.Pendant de nombreuses années, elle a enseigné. activités, a été membre du jury de concours internationaux et a présidé les examens d'État au Conservatoire de Kurmangazy. sont Rashid Skuratov, Artiste émérite du Tatarstan.Raisa Sadykova se distinguait par une musicalité rare, un talent artistique et un haut professionnalisme technique. Elle a quitté la vie 2 juin 2020 , inhumée au cimetière Kensai à Almaty.

Ramazan Bapov est une star du ballet kazakh, qui a laissé une marque brillante dans l'histoire de l'art mondial. Son nom est devenu un symbole de talent, de dévouement et de dévouement à la scène.Né dans une simple famille ouvrière, il s'est retrouvé dans le monde de l'art dès l'enfance. Ses frères ont été les premiers à se lancer dans le ballet, et puis, comme par l'appel du destin, Ramazan lui-même a été remarqué par le grand professeur Alexandre Seleznev. Depuis lors, son incroyable histoire a commencé.En tant qu'étudiant à l'école chorégraphique de Moscou, il a immédiatement attiré l'attention par sa plasticité, son expression et sa manière unique de se produire. En 1966, étant un jeune artiste inconnu, il a remporté l'argent à un prestigieux concours à Varna, ne perdant que contre Mikhaïl Baryshnikov. Malgré les offres de séjour au Théâtre Bolchoï, Bapov est retourné dans son pays natal et est devenu soliste du Théâtre d'opéra et de ballet kazakh nommé d'après Abai.Sur scène, il n'était pas seulement un danseur, il était un artiste. Ses sauts ressemblaient à un vol et la profondeur dramatique de sa performance a captivé le public. Maya Plisetskaya elle-même était admirée par sa manière de danser : légèreté, brillance, luminosité et subtilité de chaque mouvement. Artiste du peuple de l'URSS dans l'histoire du ballet du Kazakhstan, il a représenté le pays sur les meilleures scènes du monde, de l'Europe à l'Asie. Plus tard, il a transmis son expérience à de jeunes danseurs, a enseigné en Turquie et aux États-Unis et a fondé sa propre école de ballet.En 2007 il est retourné au Kazakhstan à l'invitation du président et est devenu le chorégraphe en chef du Théâtre d'opéra et de ballet kazakh. Même dans les dernières années de sa vie, il est resté fidèle à art, élevant une nouvelle génération d'artistes.Ramazan Bapov est un nom qui restera à jamais dans l'histoire du ballet du Kazakhstan, et son travail est dans le cœur des fans du monde entier. monde.

Rishat Abdullin est un baryton velouté qui a rempli l'opéra kazakh de vie, de profondeur et d'émotion authentique. Une voix, dans laquelle la grandeur des steppes, la puissance de l'âme du peuple et son lyrisme subtil résonnaient. pre-wrap;">Il est né en 1916 à Ust-Kamenogorsk, dans une famille d'origine tatare. Depuis l'enfance, avec son frère jumeau musulman, il a aidé son père, travaillant dans une mine. Le travail acharné a renforcé son caractère, mais la musique a toujours vécu en lui. Il le sentait intuitivement – et bientôt ce talent l'a conduit au monde de l'art.Étudiant à l'Alma-Ata Music and Drama Collège, puis – dans le studio kazakh du Conservatoire de Moscou. Des années de travail acharné, de conscience de soi, de sa voix. Et ainsi, en 1944, il devient le premier interprète du rôle d'Abai dans l'opéra légendaire d'Akhmet.Zhubanova et Latifa Hamidi « Abai ». À partir de ce moment, son nom est fermement associé à la scène lyrique kazakhe.Soliste du Théâtre d'opéra et de ballet kazakh depuis quarante ans. Voix, à laquelle sont soumis les rôles principaux dans les opéras de compositeurs russes, d'Europe occidentale et soviétiques. Dans l'art de opéra, il a trouvé son propre style, sa manière de jouer, forte, sincère, pénétrant jusqu'au cœur.Rishat et Muslim Abdullins – le duo qui est devenu une légende. L'un un ténor, l'autre un baryton, ils ont créé une véritable magie sur scène. Leurs duos ont été entendus dans des concerts, des films, à l'opéra. scène. Chansons folkloriques kazakhes, russes et tatares, œuvres de grands classiques  – tout ce qu'elles ont touché, est devenu de l'or musical.La renommée, la reconnaissance, le titre d'Artiste du peuple de l'URSS, les rôles au cinéma - sa vie était pleine d'art. Et même lorsqu'il quittait la scène, sa voix restait vivante dans les enregistrements, dans le cœur des auditeurs, dans l'histoire de la culture kazakhe.Rishat Abdullin n'est pas seulement un chanteur, c'est une voix qui a rempli l'opéra kazakh d'âme.

Roza Tajibaevna Baglanova (1922–2011) — légendaire chanteuse kazakhe, artiste du peuple de l'URSS, l'une des interprètes les plus célèbres de chansons folkloriques et pop kazakhes. Son nom est devenu un symbole de courage, de talent et de dévouement à l'art, et sa voix a conquis les auditeurs du monde entier.Elle est née le 1er janvier 1922 dans la région de Kyzylorda. Elle a montré un talent musical dès son enfance et, après avoir terminé ses études, elle est entrée à l'Institut textile de Tachkent. Cependant, la guerre a changé son destin : pendant les années de la Grande Guerre patriotique, elle s'est produite avec des équipes de concert devant les soldats au front, stimulant leur moral.Après la guerre, sa carrière s'est développée rapidement. Elle est devenue soliste de la Philharmonie d'État kazakhe, puis du Théâtre académique national d'opéra et de ballet. Son répertoire comprenait à la fois des chansons folkloriques kazakhes et des œuvres pop dans différentes langues, notamment le russe, l'ouzbek, le coréen, le chinois et même l'allemand.Roza Baglanova s'est produite avec triomphe sur les plus grandes scènes du monde, notamment le Kremlin, Berlin, Paris, Prague, Vienne, Varsovie et Pékin. Sa carte de visite est devenue la chanson « Ah, Samara-gorodok », qu'elle a interprétée avec une âme particulière.Pour sa contribution au développement de l'art, elle a reçu de nombreuses récompenses, dont le titre d'Artiste du peuple de l'URSS (1967), l'Ordre de Lénine, l'Ordre « Otan » et d'autres hautes récompenses d'État. Malgré son âge vénérable, elle a continué à se produire, restant fidèle à sa vocation.Roza Baglanova a laissé une empreinte profonde dans l'histoire de la culture kazakhe. Sa voix, remplie de chaleur et de force, reste une partie de l'héritage du Kazakhstan, et son nom est gravé à jamais dans le fonds d'or de la culture musicale mondiale.

Roza Kuanychovna Rymbaeva (née le 28 octobre 1957) est une chanteuse kazakhe légendaire, artiste du peuple de la RSS kazakhe, l'une des interprètes les plus célèbres et les plus respectées de l'histoire de la musique pop kazakhe. Son nom est devenu un symbole de l'art musical du Kazakhstan, et sa voix et sa maîtrise de la scène ont conquis des millions d'auditeurs.Elle est née dans la région de Semipalatinsk (aujourd'hui région d'Abaï). Elle a montré des aptitudes musicales dès son enfance et est rapidement entrée à l'école de variétés et de cirque d'Alma-Ata. En 1976, elle est devenue soliste de Kazakhconcert, où sa carrière professionnelle a commencé.Roza Rymbaeva a acquis une véritable renommée après avoir remporté le Concours international de jeunes interprètes « Golden Orpheus » en Bulgarie (1977). Ce triomphe lui a ouvert la voie aux plus grandes scènes du monde. Par la suite, elle a représenté le Kazakhstan et l'URSS lors de festivals internationaux, se produisant en Europe, en Asie et en Amérique du Nord.Le répertoire de la chanteuse comprend des œuvres pop, folkloriques et académiques. Parmi ses chansons les plus connues, citons « Aliya », dédiée à l'héroïne de la Grande Guerre patriotique Aliya Moldagulova, « Tugan zher », « Künge tabynu », « Kesteli oramal » et bien d'autres. Sa voix se distingue par sa puissance, sa profondeur et son émotion, et sa manière d'interprétation scénique rend chaque performance inoubliable.Pour sa contribution au développement de la culture kazakhe, elle a reçu de nombreuses récompenses, dont le titre d'Artiste du peuple de la RSS kazakhe, les ordres « Otan », « Parassat », ainsi que de nombreux prix internationaux. Outre sa carrière musicale, Roza Rymbaeva s'engage dans des activités pédagogiques, formant de jeunes artistes, et participe activement à des projets caritatifs.Aujourd'hui, elle continue de ravir ses fans avec de nouvelles performances, restant l'une des principales stars de la musique pop kazakhe. Son nom est étroitement lié au patrimoine musical du Kazakhstan, et son travail inspire de nouvelles générations d'interprètes.

Sabit Mukanov  est l'une des figures clés de la littérature kazakhe. Il est né 13 (26) avril 1900 dans la province d'Akmola (aujourd'hui la région du nord du Kazakhstan). Orphelin très tôt, il a connu la pauvreté et le travail acharné, mais le désir de connaissance et d'art ne l'a pas quitté lui. A reçu son éducation primaire chez les mollahs d'aoul, puis a obtenu son diplôme d'enseignant à Omsk, a étudié à la faculté ouvrière d'Orenbourg et plus tard à l'Institut de la chaire rouge de Moscou dans le département littéraire.L'héritage créatif de Sabit Mukanov couvre presque tous les genres littéraires. En commençant par la poésie, il a écrit des œuvres telles que "Konilim", "Bostandyk", "Zhumashtyn" Olimi" et le célèbre poème "Sulushash". Plus tard, il s'est tourné vers la prose, créant des romans importants "Botagoz", "Syr Darya", la trilogie autobiographique "École de la vie" et un roman sur Shokan Valikhanov "Un météore clignotant".En plus de la fiction, Sabit Mukanov a apporté une contribution significative à la science et à la critique littéraire. Il a étudié l'histoire de la littérature kazakhe XVIII - début du XXe siècle, a étudié les œuvres d'écrivains tels que Saken Seifullin, Mukhtar Auezov, ainsi que l'héritage littéraire d'Abay Kunanbayev et Chokan Valikhanov. Ses œuvres ont été traduites dans 46 langues et sont conservées dans les plus grandes bibliothèques du monde, y compris la Bibliothèque du Congrès des États-Unis et la Bibliothèque nationale d'Australie.Sabit Mukanov n'était pas seulement un écrivain, mais aussi une personnalité publique active. Il a dirigé la Union des écrivains du Kazakhstan, a enseigné à l'Institut pédagogique kazakh,a travaillé comme correspondant de guerre pendant la Grande Guerre patriotique, a été député du Conseil suprême de la RSS kazakhe. Pour ses services, il a reçu de nombreux prix, dont deux Ordres de Lénine et le Prix d'État nommé d'après Abai.Sabit Mukanov est décédé en avril 18 décembre 1973 à Almaty, laissant derrière lui un riche héritage littéraire et scientifique qui continue d'inspirer les nouvelles générations de lecteurs et de chercheurs.

Saken Maigaziev est un chanteur, enseignant et personnalité publique kazakhe qui a apporté une contribution significative au développement de la musique pop kazakhe. Pendant des décennies, il est resté l'un des plus brillants représentants de la musique nationale. scène, combinant avec succès les tendances traditionnelles et modernes dans son travail.Depuis 2001, il est soliste de l'ensemble populaire MuzART, qui a joué un rôle important dans la vulgarisation de Musique pop kazakhe. Le groupe a non seulement apporté un nouveau regard sur l'industrie musicale du pays, mais a également maintenu des liens avec les chansons folkloriques.traditions. Leur répertoire comprend à la fois des compositions pop modernes et des arrangements. de chansons folkloriques, ce qui a permisd'attirer un large public et de préserver le patrimoine musical national.En plus des activités de spectacle, Maigaziev accorde une grande attention à la pédagogie et à l'éducation d'une nouvelle génération d'artistes. Il travaille comme enseignant au Collège républicain des arts du cirque de variétés et à l'Académie nationale des arts du Kazakhstan, où Il occupe le poste de vice-recteur au travail créatif et aux relations internationales. Sa formation professionnelle comprend non seulement des compétences vocales, mais également une activité scientifique. Il a soutenu sa thèse sur le thème "Tendances ethnofolkloriques de la musique pop kazakhe kazakhe", explorant le développement des éléments ethnofolkloriques dans la musique pop kazakhe moderne.Sa contribution à la culture du Kazakhstan a été reconnue par de nombreux prix, y compris le Prix national de la jeunesse "Daryn", le titre "Travailleur honoré de Kazakhstan", et la médaille "Halyk Algysy". Ses activités couvrent non seulement la scène, mais aussi l'enseignement, les travaux de recherche et les activités sociales, contribuant au développement de l'art musical du pays.

Saken Seifullin est l'un des plus brillants représentants de la culture kazakhe, poète, écrivain, homme d'État et fondateur de la littérature kazakhe moderne. Son nom est inscrit à jamais dans l'histoire du pays. comme symbole d'inspiration, de courage et d'amour sans limites pour son peuple.Né en 1894 dans les steppes sans fin du district d'Akmola, dès son plus jeune âge, il fut imprégné de la l'esprit de son peuple, ses traditions, sa langue, sa musique. Doué de talent littéraire, Seifullin a réussi à transformer la poésie kazakhepoésie, en y combinant traditions anciennes et tendances artistiques modernes. Ses œuvres sont devenues l'ère de la voix, qui reflétait les espoirs et les aspirations du peuple kazakh.Parmi ses œuvres figurent le roman Our Life, un manuel sur l'histoire de la littérature kazakhe, des recueils de poésie Otken kunder", poèmes "Kyzyl at", "Kokshe tau" et mémoires "Le chemin épineux". Seifullin n'était pas seulement un écrivain, mais aussi une personnalité publique active, qui a consacré sa vie à la lutte pour le développement de la culture et de la langue nationales. Il est le premier parmi les écrivains kazakhs à avoir reçu l'Ordre de la La Bannière Rouge du Travail et ses poèmes ont inspiré des milliers de personnes.Cependant, son patriotisme est devenu la raison de son sort tragique. Pendant la période de répression, Seifullin a été arrêté et exécuté en 1938. Malgré cela, ses idées, ses œuvres et son amour pour le Kazakhstan sont restés dans le cœur des gens. Aujourd'hui, les rues, les écoles et les musées portent son nom, et ses œuvres continuent d'inspirer les nouvelles générations.Saken Seifullin n'est pas seulement un écrivain et une personnalité publique, c'est une époque qui fait désormais partie du Kazakh. âme.

Sara Idrisovna Kusherbaeva – exceptionnelle ballerine kazakhe, chorégraphe, enseignante, professeur, artiste du peuple de la RSS du Kazakhstan (1966).Né le 6 février 1933 à Alma-Ata. École chorégraphique d'Alma-Ata avec A. V. Seleznev, puis à l'École chorégraphique académique de Leningrad avec V. Kostrovitskaya, N. Kamkova et d'autres maîtres.En 1954 elle devient ballet soliste du Théâtre académique d'opéra et de ballet de l'État kazakh du nom d'Abay. Elle fait ses débuts dans le rôle de Paracha dans « Le Cavalier de bronze » (1955). Elle a interprété des rôles principaux dans les ballets « La Belle au bois dormant », « Le Lac des cygnes », « Giselle », « Don Quichotte », « La Bayadère », « Spartak » et bien d'autres. dir="ltr" style="text-align: start;">De 1973 – répétiteur-chorégraphe du théâtre, de 1975 à 1986 année – directeur du L'école chorégraphique d'Alma-Ata a formé de nombreux artistes talentueux. activités littéraires,  mémoires publiés.Elle est décédée le 24 janvier 1999 à Alma-Ata. Sa contribution au développement du ballet kazakh reste inestimable.

Sauyk Masigutkyzy Zhakanova est l'une des voix les plus reconnaissables de la radio kazakhe, un artiste émérite du Kazakhstan (1995), un travailleur émérite de Kazakhstan (2021), professeur et maître de l'expression artistique. Sa voix a résonné dans les foyers des Kazakhs pendant des décennies, les accompagnant en semaine et les jours fériés, laissant une marque indélébile dans l'histoire de la radiodiffusion de notre pays.Sauyk Zhakanova est né le 11 février1945 dans le village d'Erkindik, district de Shet, région de Karaganda. Ses parents étaient de simples travailleurs ruraux, mais rêvaient de donner à leurs enfants une éducation décente. Sauyk, étant l'aîné de la famille, s'est toujours senti responsable de l'avenir et de sa jeunesse a montré de l'intérêt pour la littérature et l'art des mots.En 1966 après avoir réussi une sélection compétitive stricte, Sauyk Zhakanova est devenu annonceur de la radio kazakhe. À cette époque, le métier d'annonceur exigeait non seulement une maîtrise impeccable de la langue kazakhe, mais aussi une compréhension approfondie du texte, de l'intonation et du message émotionnel.Depuis 36 ans, elle est l'une des principales voix du pays  d'information, pièces de radio et programmes documentaires. Sa voix résonnait dans les émissions nationales et culturelles les plus importantes, et pour de nombreux Kazakhs, elle est devenue un symbole de stabilité et de fiabilité.La particularité du travail de Zhakanova était une préparation maximale : elle ne s'autorisait jamais à lire le texte mécaniquement, elle en transmettait toujours la profondeur et le sens.En 1995, elle était a reçu le titre honorifique d'Artiste émérite du Kazakhstan, en reconnaissance de son énorme contribution au développement de la radiodiffusion.Ayant terminé sa carrière radiophonique en 2002 Sauyk Zhakanova ne s'est pas éloignée de son travail préféré. style="text-align: start;">Son autorité dans le domaine de l'art des mots a fait d'elle l'un des mentors les plus recherchés par les jeunes journalistes et annonceurs. class="leading-7 [&:not(:first-child)]:mt-6" dir="ltr" style="text-align: start;">Ces ouvrages sont devenus un matériel pédagogique important pour les futurs journalistes, orateurs et présentateurs, formant un niveau élevé de radiodiffusion kazakhe.En 2021 , elle a reçu le titre « Ouvrière honorée » du Kazakhstan », qui est devenu une autre reconnaissance de sa contribution au développement de la culture et des médias au Kazakhstan.